samedi 24 février 2007

Le parapluie

Ces gens dont on ne veux pas connaître l'identité. Il y a ce garçon que je ne connais pas avec qui je fais la course dans l'épicerie pendant les pauses de cours. On ne se parle pas, on n'a pas mis en place les règles. Il me suffit de m'évaporer avant que l'on ai à se présenter. Il y a quelques jours, il bruinait à peine et j'avais un parapluie. Et il était là, je lui ai proposé de l'abriter et bien sûr, bon si il veut, c'est vrai qu'il ne pleut pas. Ha, tu veux bien! On aurait pu croire que tu avais oublié que nous étions partenaires de jeu. Et certainement à cause de cette chanson, certainement à cause de cette envie de sublimer le monde avec les autres, on a fait notre chemin pour rien avec mon parapluie et il s'est évaporé.



Georges Brassens
Le parapluie

Il pleuvait fort sur la grand-route
Ell' cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse
D'un air très doux, ell' m'a dit " oui "

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Chemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuits

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Mais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte
Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubli

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

vendredi 23 février 2007

Le monsieur qui dialogue avec son pénis....

Je ne sais pas comment te dire... Laisse moi un peu de temps, j'ai pas envie de balancer seulement, laisse moi , laisse moi un peu de temps. Ce soir, je sors. J'étudies, j'ai envi de bien écrire, j'ai aussi envi de remplir mes blogs... j'en ai 12 au total...
Je suis rentrée chez moi avec la profonde envie de le reremplir. Je te promets de le terminer, mais laisse moi le temps de bien dire les choses et de ne pas faire de fautes. Parce que je ne suis pas douée et certainement trop impulsive...

jeudi 22 février 2007

Le déclic.

J'ai décidé de partir de chez moi lorsque une après midi ma mère et moi étions à la maison. J'ai fais une sieste. Mon rêve était érotique et j'ai crié de plaisir. Mon partenaire n'a pas aimé que je fasse du bruit. A mon réveil ma mère était étrange. Il faut dire que j'ai toujours parlé dans mon sommeil.
Il y a des questions qui ne se posent pas, et je me suis dit qu'il était temps.

lundi 19 février 2007

Les annonces dans le métro.

Dans le métro il y avait un message écrit au rouge de l'autre côté du wagon. Et je voulais lire le truc. Tellement omnibulée et vu que c'était caché par le foule, je me penchait et me rapprochais. Ce qui a fait que je me suis retrouvée en face d'un mec sur un strapontin en train de tenter de déchiffrer. Je l'ai fait sourire, je l'ai vu, je lui ai sourri et j'ai continué à avancer... Le message était "faites un gest.. La fou..", puis "Faites un geste d'amour evitez la fou...".. Puis "Faites un geste, évitez la fourrure." Ce qui en soit est un bon message. A la descente du wagon, j'ai attendu le garçon qui souhaitait me parler et qui me plaisait.(A force on sait et quelques sourrires suffisent). Il est venu vers moi, m'a dit qu'il partait dans une demi heure pour le Havre et que si je voulais on pouvait aller prendre un café.
C'est marrant les tics de langage de certain. Lui c'était le mot "glamour" qu'il a prononcé 2 fois. "Une gare c'est pas très glamour" et "Ce café c'est pas très glamour.". Je lui ai dit que je viens de banlieue et que ce café tocard me convenait. On a parlé de ses ongles longs et du fait qu'il perdait tout ses coupes-ongles parce qu'il ne supportait pas l'étape coupage d'ongles, de son boulot de trapesiste, de nos projets d'avenir, de la CEEA etc.
Une foi notre café fini, il m'a dit qu'il était ravi et il a pris son sac. C'est marrant parce que j'étais contente de connaître son âge et son rapport aux ongles et pas son prénom, mais lorsqu'il m'a simplement remercié, ça m'a surprise. " C'est tout! Tu veux pas mon numéros ou au moins mon prénom?" "Moi je trouve ça bien comme ça. Tu veux prendre mon numéros?" "Tu as peut être raison, il vaut mieux garder la magie de l'instant." "On peut s'embraser!""Ouai!"... On a marché à la recherche de son quai.
Il me dit:"Tu es stressée?" "Non." Je pense que je me demandais si je devais tenter de garder contact. Et j'ai pas eu le courage de casser l'instant. "Moi si, je suis stressé!" Il a jeté son sac au milieux de la gare, "ici"! "Je pensais devant ton train". "Ok". Autant que ce soit un beau baiser d'adieux. Sur le quai, il a jeté ses sacs dans le train et nous nous sommes accordé pour ce baiser improvisé. Je pense que je lui ai fait un baisé à la "Nous ne nous révérons jamais Adieux mon grand amour" (Et certainement prenons le sexe là où il se trouve.). Et lui c'était plus à la "Nous nous effleurons doucement comme des enfant innocent."(quelque chose de plus mysterieux). "Tu vas vite."'Je suis impulsive... Alors on fait comment?" " C'est très bien." Et durant une fraction de seconde de complicité, proportionelle à la durée de notre histoire, je lui ai dit:"C'est vrai que je suis même très impatiente.", "Ça peut être une qualité". Il s'arrête. "Mais il reste encore 4 minutes!" Je ne m'arrêterais jamais de me resservir jusqu'à ce qu'on me dise "non". Il m'a réembrassée, mordu le cou et dit "maintenant". Il m'a donné un rapide bisous d'aurevoir, m'a remercié et a sauté dans son wagon. Nous nous sommes sourit par la fenêtre et je suis partie sur mon quai.

lundi 5 février 2007

David.

J'ai pris le noctilien ce soir là, j'avais fait un long détour. J'ai passe une heure dans ce bus à faire le tour de Paris, et je dis toujours que quelque chose de spécial a lieux dans les noctilien et aussi lorsque l'on est en retard. Et ce soit là, ce fut 6 stations avant la mienne...
Une personne clairement imbibée en blanc monte un sourire immense: "Place de Clichy." Sous l'impulsion du bus qui démarre, les mains dans les poches et son sourire de béatitude il fonce sur un passager assis. Il s'excuse et va s' accoler à un mec qui était assis sur une des places opposées. Celui-ci parlait à deux amies. Mais quand je dis accoler, c'est comme si d'un coup c'était son meilleur celui de depuis toujours, voir son petit amis. Toujours souriant, il écoutait comme si ils évoquaient de vieux souvenirs. Il crie "Ho ouiiii une after!". Le passager, lui, tente de le renvoyer, au moins de l'éloigner. L'homme tout en blanc, le souriant met du temps à comprendre et tente de se défendre comme il le peut. Il agresse son ex-ami depuis toujours, lui dit que ça doit être fatigant pour lui de faire semblant d'être intéressant et qu'il le plaint. En plus de sa remarque (qui devait être une observation qu'il avait faite sur le monde auparavant), il avait déstabilisé un groupe de trois personnes, des biens pensant les plus nuls. Mais à 6 heure du matin, je suppose que l'on voit les gens mieux qu'ils ne sont. Il a donc pris la place de ce groupe dont j'avais suivit la conversation qui était d'ailleurs des plus banales. Et je l'ai admiré, on aurait dit un petit garçon content qui attendait sa maman. Je lui ai demandé comment il s'appelle "David Bouillabaise ", je n'ai pas retenu son nom. Il m'a expliqué que les gens étaient con et il m'a proposé de faire une after avec un autre inconnu qui avait l'air sympa, qui était assis en face de moi. "Vous Monsieur vous avez l'air ouvert!"... Il a insisté pour le convaincre: "Allez, ce sera spécial, ce sera nous trois, ce sera toi, elle et toi !". Il parle fort en levant le doigt, il postillonne sur sa main, je le lui fais remarquer. Et vu que tout le rend heureux, il met son doigt dans sa bouche pour remettre les choses à leur place. St Lazarre, je rate ma station. Plus gentiment ce passager refuser. Je lui dit que c'est là que nous devons descendre, c'est moi qui lui donnerais de l'amour ce soir. Il me demande où l'on va, il me demande si ça me dérange qu'il pisse et si je l'attendrais. Il ne me croit pas, alors il me rejoint dans la bouche de métro. "T'es chié quand même!". Une foi sur le quai il m'annonce que maintenant il va pisser, même si ça me dérange! Je lui dit de le faire dans la poubelle et je me retrouve sur le quai à attendre le mec qui pisse à l'autre bout. Il me redemande comment je m'appelle: "Scarlett" il se moque de moi. Nous faisons alors connaissance. Il est plus vieux, il a 33 ans (en réalité il en a 28, peut être 27). Je suis une plus jeune banlieusarde et j'étudie. Il fait de l'économie et s'occupe des caisses de retraite, "On se porte plutôt bien". Il m'appelle Heidi. Il m'explique qu'il est très malheureux parce que son ami est mort. Et que c'est le contenu de sa soirée héé maisù je l'emmène là?? "Whouhou c'est le train de l'amour et je t'emmène dedans, viens...". Et dedans, il met les choses au clair: "Pourquoi on s'aime pas comme ces deux là hein? Moi mes parents ils s'aiment toujours profondément et toi hein! T'as vu comme on est!?". Le couple qui sert de comparaison est très content, le wagon aussi. On change de métro. Sur le quai suivant.. Mais on est où la??? "Whouhou, viens je t'emmène, c'est le bus de l'amour tu vois!" et il l'illustre en faisant des vagues avec les bras. Strapontin mains dans la mains, c'est mieux pour le guider et baiser dans le cou. "Whouuuuuuu qu'est ce que je suis en train de faire???".
Je l'ai pris par la mains et on s'est trouvé à St Lazare là où nos chemins se séparent. Il m'a proposé avec sa voix hystérico-hypra joyeuse de venir. Et qu'il fallait que j'assure pour égaler son ami mort qui allait certainement nous regarder. Je lui ai demandé les croissants. Je lui ai dit qu'il était hors de question que je me retrouve au matin virée comme une chaussette. Il m'a dit que c'était promis et on a pris sa direction. Une fois qu'il a enjambé le tourniquet et qu'il s'est cogné la tête au plafond en me disant attend moi j'arrive, on s'est rendu compte que c'était le mauvais côté. On est donc ressortit et on a pris son métro.
A la sortie: "C'est loin chez toi?" "Non, non tu vas voir, c'est juste à côté... C'est tout tout près" "Porte moi!" "Haa non, t'es chié! Vas-y saute!" Et quelques pas plus loin "T'es trop lourde descend! Ho t'es descendue?" Normal il s'était penché pour me faire tomber. Il se met alors à 4 pâtes, je monte sur son dos, il tente de marcher et hurle: "Haa tu vois ce que tu me fais?!!". Il harangue le seul inconnu qui passe dans la rue: "Haa vous voyez ce qu'elle me fait faire!!! Rhaa!" Je descend, on continue à remonter la rue. Devant la porte de son immeuble je lui demande si il projette de tuer quelqu'un dans sa vie (faut bien se faire croire qu'on est raisonnable). "Nooon, jamais c'est ce qu'on a fait à mon ami et jamais je ne le ferais". "Tu vis seul?" "J'ai un colocataire, c'est le mec qu'on a croisé." (pas du tout). Une foi chez lui: "Tiens d'ailleurs je vais te le présenter."
Pauvre coloc et le lendemains matin il ne se rappelait de riens. Alors qu'il a mis de la musique à fond dans le salon et qu'il lui a parlé à 6 heure du mat pour le présenter à l'inconnue croisée dans le bus dont il ne connaissait toujours pas le nom. Donc le temps qu'il trouve de la musique dans ses jeux vidéos, je fouillais dans sa chambre, regardais les photos etc. Et je suis tombée sur un faire part pour un enterrement que j'ai piqué plus tard. Il m'a rejoint "Qu'est ce que tu fais? " "Je fouille.". Il a vu ce faire part et a pouffé: "C'est glauque hein?". On s'est retrouvé dans le couloir et je lui ai demandé une douche. Hoo j'adore les douches et il m'a tendu les lèvres pour que je lui fasse un bisous. Quand je ne me rappelle pas, mais il s'est déshabillé dans le salon, je l'ai constaté le lendemain. Certainement lorsque moi je me suis déshabillée dans sa chambre. Nous nous sommes rejoint nu sous sa douche. Et c'est la que la nuit a tenté de commencer.
Il m'a mouillée et nous nous sommes embrassé. Un homme au corps si usé par la vie, ça faisait longtemps que je n'en avait pas touché. Un corps, pas assez. Mais je n'ai pas besoin de justification pour avoir eu envie de me masturber avec la pomme de douche et ses baiser... Mais il a voulu se sentir plus actif alors que j'étais pleine d'émotion il a coupé l'arrivée d'eau avec sa mains pour me pénétrer et je ne sais pas, il y avait quelque chose de burlesque dans sa manière d'être à me faire une double pénétration de devant et de derrière avec ses deux mains. Et un peu décevant parce que j'avais mon orgasme qui venait... Plus tard il m'a collé contre lui et m'a parlé
Les cheveux lavé et toute propre, j'ai refusé d'utiliser sa serviette sale qui puait. Il m'a dit que c'était normal dans un appartement de garçon et il m'en a cherché une mieux. Toute nue dans sa douche, je redeviens certainement une petite fille, mais que voulez vous, j'aime être frigorifiée et attendre tremblante qu'on m'amène ma serviette. Et j'aime qu'on se soucie de ma serviette.
Dans son lit, c'est toujours la même chose on a froid on se réchauffe on rigole et on se caresse en attendant d'être mieux. Je lui ai demandé si il avait une maladie transmissible (c'est marrant ces fausses choses raisonnable que je fais pour me faire croire que je suis sérieuse). Il m'a dit ouiii et il a fait des grimaces et s'est
Il a voulu me lécher, mais je lui ai demandé si il y avait un mode d'emplois. Parce ce que tout les garçons avec qui j'ai couché dernièrement me l'on fait comme pour s'excuser de devoir me pénétrer ou je ne sais pas. J'aime ça quand on a faim de mon sexe, que l'on a envie de philosopher sur mes lèvres, mais pas lorsque l'on fait ça pour le principe. Et de toute manière je le reverrais jamais, je n'ai pas à m'en soucier. J'avais une grande envie de lui et qu'il me pénètre, mais comme sous la douche il n'a pas eu d'érection. Il a beaucoup bavé et mouillé mes cuisses. il a joué à m'exciter plusieurs fois... Au bout d'un moment je me suis enervée parce que moi ça me donnais faim de plus et que j'allais rester sur ma faim. Nous avons tout de même couché un peu ensemble, je me suis mise au dessus de lui et pendant qu'on faisait l'amour, il m'a dit "Tu m'impressiones.". En y repensant, je pense que j'ai peut-être cru que la libération des sexes ça voulais dire avoir le droit d'être àl'aise dans sa sexualitée mais aussi concevoir que l'autre, le garçon ne soit pas un demandeur absolu. J'ai certainement été désagréable et maladroite. Je lui ai même demandé si je l'attirais et il s'est enervé. J'ai profité du moement.
Et à moitié endormie, je lui ai raconté combien j'étais heureuse, je lui ai parlé de diverses choses qui m'étaient arrivée et puis il me caressait, il pontuait de HuuUUm. Il m'a dit ce qu'il faisait dans la vie. Il m'a parlé du petit garçon qui courrait audessus de nous. C'est marrant toutes les façons dont on peut rentrer dans la vie des gens. Je lui ai demandé mon prénom et j'en ai profité pour lui dire que je m'appelais Janine, le prénom le plus affreux que je ne connaisse. "Ok." Que peut-on dire d'autre? J'ai inventé des choses qu'il aurait pu me dire, juste pour le plaisir de voir sa réaction, "Ben je t'ai menti alors." "Mais il est tard! Allez on se lève!"
Dans le salon, j'ai rerencontré son collocataire. Je lui ai demandé pardon pour la veille, il était tout de même coincé entre la douche ou nous parlions fort et riions et le salon où la musique à fond tournait pour son pantalon et son caleçon abandonnées au sol. Mais il n'a pas compris pourquoi je m'excusais. Et dans le salon nous avons regardé une merde à le TV, des fans de MTV apparemment. David en face de moi qui allume sa cigarette et qui pose son coude sur la table et qui écarquille les yeux lorsqu'il voit une pochette recouverte de reste cocaïne. Il demande ce qu'il a fait hier au soir. "Ben, c'était avant de sortir, c'est normal. C'est quand ils ont dit qu'ils allaient partir que tu t'es agîté sinon, c'était cool.". "Mais c'est la famille, holala la honte devant mes cousins.". "Mais ils ont rigolé quand tu as pissé par la fenêtre!" "Hein?" "Tu te rappelles pas tu as jeté tes CD par terre et tu t'es roulé dedans en criant, j'aime ma musique." "La honte, je vais leur envoyer un SMS." "Nooon mai c'est cool, ils ont vraiment halluciné quand tu leur as sorti le poppers." Etc. J'avais l'avant soirée après l'après soirée et je me délectait. Il est parti m'acheter des croissants comme promis, enfin 1 qui avait un sale goût d'ailleurs. Il m'a fait remarquer que je faisais du bruit en mangeant "Toi aussi tu n'aimes pas quand les gens font du bruit en mangeant!". Il a souri et j'ai continué à manger bruyamment. Comme si les filles qui couchent avec des inconnus avaient des manières. J'ai rassemblé mes affaires, il m'a dit que si je voulais je pouvais me doucher, je ne me lave pas deux fois par jours. Lui ai demandé si il voyait mon pull.. J'ai du le perdre avant. Je les salue et m'aprète à sortir, il me demande mon numéros au cas "où il retrouve mon pull." Etre lache comme ça, ca me fait rire. "Alors pour mon pull...vrai prénom, vrai numéros et vrai merci. Je rentre.