dimanche 1 avril 2007

Ludo

Ludo est venu à cette soirée. J'ai largement fait mon idiote en les conduisant en voiture. C'est mon option timidité. Et certainement dans l'esprit "regarde ce que je suis capable de faire". Je l'ai à peine vu. Je lui ai laissé quelques affaires dans son sac... Je les récupérerais plus tard.
C'était bizarre. J'ai joué le jeu de la drague avec lui, mais en même temps... définitivement, je ne le trouve pas attirant.

jeudi 1 mars 2007

Ludo

Ludovique, -vic, je ne sais pas. Il vivent dans la rue de ma fac et maintenant je regarde par la fenêtre à chaque foi que je passe. Parfois je leur fais coucou. Comme promis je l'ai ai invité à une fête dans les catacombes. Ludo est le seul à venir (Ludo, ça sonne un peu plouc).

Ce soir!!

C'est ce genre de semaine où vous sortez d'un boulot pleins de pression et vous ne voulez pas y retourner. Et je crois reconnaitre quelqu'un que je n'aimais pas. Bref, on se parle on ne se connait pas son copain me propose d'aller voir le match avec eux dans le bar d'à côté.
Le match est nul, on part chez eux, je nous fais à manger, on joue à la wii, on fait du karaoké et je cours après mon dernier train.
J'aime Paris.

samedi 24 février 2007

Le parapluie

Ces gens dont on ne veux pas connaître l'identité. Il y a ce garçon que je ne connais pas avec qui je fais la course dans l'épicerie pendant les pauses de cours. On ne se parle pas, on n'a pas mis en place les règles. Il me suffit de m'évaporer avant que l'on ai à se présenter. Il y a quelques jours, il bruinait à peine et j'avais un parapluie. Et il était là, je lui ai proposé de l'abriter et bien sûr, bon si il veut, c'est vrai qu'il ne pleut pas. Ha, tu veux bien! On aurait pu croire que tu avais oublié que nous étions partenaires de jeu. Et certainement à cause de cette chanson, certainement à cause de cette envie de sublimer le monde avec les autres, on a fait notre chemin pour rien avec mon parapluie et il s'est évaporé.



Georges Brassens
Le parapluie

Il pleuvait fort sur la grand-route
Ell' cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse
D'un air très doux, ell' m'a dit " oui "

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Chemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuits

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

Mais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte
Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubli

Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chos' d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au chang', pardi

vendredi 23 février 2007

Le monsieur qui dialogue avec son pénis....

Je ne sais pas comment te dire... Laisse moi un peu de temps, j'ai pas envie de balancer seulement, laisse moi , laisse moi un peu de temps. Ce soir, je sors. J'étudies, j'ai envi de bien écrire, j'ai aussi envi de remplir mes blogs... j'en ai 12 au total...
Je suis rentrée chez moi avec la profonde envie de le reremplir. Je te promets de le terminer, mais laisse moi le temps de bien dire les choses et de ne pas faire de fautes. Parce que je ne suis pas douée et certainement trop impulsive...

jeudi 22 février 2007

Le déclic.

J'ai décidé de partir de chez moi lorsque une après midi ma mère et moi étions à la maison. J'ai fais une sieste. Mon rêve était érotique et j'ai crié de plaisir. Mon partenaire n'a pas aimé que je fasse du bruit. A mon réveil ma mère était étrange. Il faut dire que j'ai toujours parlé dans mon sommeil.
Il y a des questions qui ne se posent pas, et je me suis dit qu'il était temps.

lundi 19 février 2007

Les annonces dans le métro.

Dans le métro il y avait un message écrit au rouge de l'autre côté du wagon. Et je voulais lire le truc. Tellement omnibulée et vu que c'était caché par le foule, je me penchait et me rapprochais. Ce qui a fait que je me suis retrouvée en face d'un mec sur un strapontin en train de tenter de déchiffrer. Je l'ai fait sourire, je l'ai vu, je lui ai sourri et j'ai continué à avancer... Le message était "faites un gest.. La fou..", puis "Faites un geste d'amour evitez la fou...".. Puis "Faites un geste, évitez la fourrure." Ce qui en soit est un bon message. A la descente du wagon, j'ai attendu le garçon qui souhaitait me parler et qui me plaisait.(A force on sait et quelques sourrires suffisent). Il est venu vers moi, m'a dit qu'il partait dans une demi heure pour le Havre et que si je voulais on pouvait aller prendre un café.
C'est marrant les tics de langage de certain. Lui c'était le mot "glamour" qu'il a prononcé 2 fois. "Une gare c'est pas très glamour" et "Ce café c'est pas très glamour.". Je lui ai dit que je viens de banlieue et que ce café tocard me convenait. On a parlé de ses ongles longs et du fait qu'il perdait tout ses coupes-ongles parce qu'il ne supportait pas l'étape coupage d'ongles, de son boulot de trapesiste, de nos projets d'avenir, de la CEEA etc.
Une foi notre café fini, il m'a dit qu'il était ravi et il a pris son sac. C'est marrant parce que j'étais contente de connaître son âge et son rapport aux ongles et pas son prénom, mais lorsqu'il m'a simplement remercié, ça m'a surprise. " C'est tout! Tu veux pas mon numéros ou au moins mon prénom?" "Moi je trouve ça bien comme ça. Tu veux prendre mon numéros?" "Tu as peut être raison, il vaut mieux garder la magie de l'instant." "On peut s'embraser!""Ouai!"... On a marché à la recherche de son quai.
Il me dit:"Tu es stressée?" "Non." Je pense que je me demandais si je devais tenter de garder contact. Et j'ai pas eu le courage de casser l'instant. "Moi si, je suis stressé!" Il a jeté son sac au milieux de la gare, "ici"! "Je pensais devant ton train". "Ok". Autant que ce soit un beau baiser d'adieux. Sur le quai, il a jeté ses sacs dans le train et nous nous sommes accordé pour ce baiser improvisé. Je pense que je lui ai fait un baisé à la "Nous ne nous révérons jamais Adieux mon grand amour" (Et certainement prenons le sexe là où il se trouve.). Et lui c'était plus à la "Nous nous effleurons doucement comme des enfant innocent."(quelque chose de plus mysterieux). "Tu vas vite."'Je suis impulsive... Alors on fait comment?" " C'est très bien." Et durant une fraction de seconde de complicité, proportionelle à la durée de notre histoire, je lui ai dit:"C'est vrai que je suis même très impatiente.", "Ça peut être une qualité". Il s'arrête. "Mais il reste encore 4 minutes!" Je ne m'arrêterais jamais de me resservir jusqu'à ce qu'on me dise "non". Il m'a réembrassée, mordu le cou et dit "maintenant". Il m'a donné un rapide bisous d'aurevoir, m'a remercié et a sauté dans son wagon. Nous nous sommes sourit par la fenêtre et je suis partie sur mon quai.